Le PDG de la CVMO déclare que plus de 30% de Canadiens prévoient d'entrer sur le marché de la cryptographie au cours de la prochaine année
- Avec une population d'environ 38 millions d'habitants, Vingoe implique que plus de 11,4 millions de Canadiens ont l'intention d'acheter des actifs cryptographiques l'année prochaine.
- Vingoe a noté que l'organisme de réglementation tient à superviser le marché de la cryptographie sans choisir de gagnants ou de perdants.
- L'OSC considère l'échec de QuadrigaCX en 2019 comme un schéma de Ponzi à l'ancienne enveloppé dans le jargon de l'innovation.
Speaking at the Economic Club of Canada, Ontario Securities Commission (OSC) Chief Executive Officer Grant Vingoe highlighted the regulations needed. Crypto market to ensure future prosperity. Vingoe noted that the view that crypto assets need different treatment from other financial instruments is ‘completely misguided’. The OSC CEO noted that their previous research indicates that over 30 per cent of Canadians plan to purchase digital assets as a speculative instrument in the coming years.
Avec une population d'environ 38 millions d'habitants, Vingoe implique que plus de 11,4 millions de Canadiens ont l'intention d'acheter des actifs cryptographiques l'année prochaine.
En tant que tel, Vingoe a noté que l'organisme de réglementation tient à superviser le marché de la cryptographie sans choisir de gagnants ou de perdants.
Néanmoins, le gouvernement canadien a sans doute manifesté un grand intérêt pour Bitcoin et Ethererum actifs numériques. Alors que la plupart des actifs numériques sont réglementés dans une zone grise, l'OSC a classé Bitcoin et Ethererum comme des marchandises.
Le Canada et le marché de la cryptographie
Le président de la CVMO a noté que la majeure partie du marché de la cryptographie se situe en grande partie dans ses juridictions. De plus, Vingoe a noté que les investisseurs canadiens leur avaient confié la lourde responsabilité de sécuriser leurs fonds d'investissement.
“The OSC’s activities are governed by our multi-pronged mandate, which requires us to act when something falls within our jurisdiction – and the vast majority of crypto-based entities clearly do. Bitcoin and Ether, for example, are generally considered commodities, given their scale and lack of centralised management,” Vingoe a dit lors du sommet de jeudi.
Les régulateurs canadiens craignent une répétition de 2019 lorsque plus de $100 millions ont été anéantis par le scandale QuadrigaCX. Notamment, l'OSC considère l'échec de QuadrigaCX en 2019 comme un schéma de Ponzi à l'ancienne enveloppé dans le jargon de l'innovation.
Le pays a fait d'énormes progrès dans la réglementation du marché à croissance rapide des crypto-monnaies. Au début de 2019, les ACVM et l'OCRCVM ont proposé un cadre réglementaire pour les plateformes de négociation d'actifs cryptographiques et se sont entretenus étroitement avec l'industrie sur ce à quoi cela devrait ressembler.
By August 2020, the country’s regulators had approved the first platform to offer services in Ontario. In March last year, the CSA published guidance to improve the quality of disclosures provided by crypto asset reporting issuers.
Canada has one of the world’s leading economies and is, therefore, key to future technology adoption. Furthermore, the country has both institutional and retail investors ready to put funds in disruptive technology markets. As such, Vingoe noted that investors need to be assured of safety while trading in speculative assets.
“It is important that efforts to protect the public interest are not dragged into non-regulatory debates, the likes of which we are seeing more often in relation to crypto assets, ESG, and other areas. We must always be grounded in our mandates and urge others to evaluate our work in that light,” Vingoe said.