
Credit Suisse racheté par UBS Group pour $2 milliards: détails
- La banque basée en Suisse, Credit Suisse, a été officiellement renflouée et acquise par UBS, la plus grande banque suisse, pour environ $2 milliards.
- Une offre initiale de $1 milliards d'UBS a été rejetée par les actionnaires des entreprises bancaires car elle était nettement inférieure à sa valorisation de $8 milliards.
- L'accord a été étouffé par la FINMA et la BNS avant l'ouverture des marchés lundi pour éviter une perte de confiance du public dans la banque suisse.
- Les régulateurs américains et européens ont également donné leur feu vert à l'acquisition et publieront un communiqué coordonné le 19 mars.
- Les régulateurs européens craignent que les investisseurs ne perdent confiance dans les secteurs financier et bancaire européens.
Credit Suisse, one of the largest banking institutions around the globe with presence in Europe, Asia, and other parts of the world, found itself in a crisis as the US banking system started collapsing, starting with the bankruptcy of the Silicon Valley Bank (SVB) and the Signature Bank. Interestingly, the Zürich, Switzerland-based bank has been officially bailed out and acquired by UBS, the largest bank in Switzerland, for around $2 billion.
Dans le cadre d'un accord historique entre deux des plus grandes banques de Suisse, le groupe UBS a doublé son offre initiale à $2 milliards et a acheté les actifs appartenant au Credit Suisse, son principal concurrent. De plus, selon un rapport from the Financial Times, UBS offered the Swiss bank close to $1 billion on March 18 which was significantly below the company’s market valuation, and as a result, the deal was rejected by the board of the troubled bank.
Au 17 mars, la valorisation officielle du Credit Suisse était d'environ $8 milliards, selon Les données de la capitalisation boursière des entreprises. Par conséquent, un rejet de l'accord le 18 mars semblait inévitable, et en conséquence, UBS a doublé son offre et a finalement finalisé l'acquisition au cours du week-end. Il est crucial de noter que l'opération a été discrètement conclue avant l'ouverture des marchés lundi pour éviter une perte de confiance du public dans la banque suisse.
Selon un précédent rapport de Bitnation, la Banque nationale suisse (BNS) et l'Autorité fédérale de surveillance des marchés financiers (FINMA) décidé de contourner les lois locales, qui accordent un délai de six semaines aux actionnaires de la société acquise, c'est-à-dire le Credit Suisse, pour décider s'ils souhaitent procéder à l'acquisition et voter à ce sujet.
The authorities wanted UBS and Credit Suisse to work with each other and come to a conclusion before the end of Saturday night. The acquisition was accelerated by bypassing the shareholders’ vote, and the international counterparts were told that SNB and FINMA “regard a deal” with UBS as the “only option” to prevent a “collapse in confidence” in the troubled banking institution.
De plus, dans le cadre de l'accord, la BNS a fourni plus de $100 milliards de ligne de liquidité à USB, et selon les rapports, l'accord a été fortement influencé par la FINMA et la BNS. Les régulateurs américains et européens ont également donné leur feu vert à l'acquisition et publieront un communiqué coordonné le 19 mars.
It is also crucial to note that BlackRock, the largest asset management company in the world, announced on the social media platform Twitter that “it is not participating in any plans to acquire all or any part of Credit Suisse and has no interest in doing so.”
En outre, selon un rapport de Reuters citant deux sources au courant de l'affaire, l'opération d'acquisition de Credit Suisse pourrait imposer des pertes à ses obligataires et même entraîner la nationalisation totale ou partielle de Credit Suisse Group AG. Les régulateurs européens craignent que les investisseurs perdent confiance dans les secteurs financier et bancaire européens, une crainte similaire à celle des réglementations américaines.
De plus, selon un rapport précédent de Bitnation, malgré la faillite de deux grandes banques aux États-Unis, le président Joe Biden affirme que le US will do “whatever is needed” to protect banks tout en ajoutant que le système bancaire américain est sûr.